Sie tragen klingende Namen, stehen für harmonische Aromen, blumigen Geschmack und hochwertige Bio-Knospe-Qualität. Die Geschichte, die hinter unseren neuen Kräutertees steckt, ist wie ein wahres Märchen.

Le froid et l’humidité persistantes au cours de l’année écoulée ont donné du fil à retordre à nos productrices et producteurs. Les semis des cultures d'été ainsi que tous les autres travaux d'entretien ont été effectués avec difficulté sur des sols humides, voire trop tard ou pas du tout. Les pluies persistantes et des orages parfois violents, n’ont laissé que de courtes fenêtres de temps sec pour réaliser les travaux nécessaires dans les champs. Malheur à ceux qui n'ont pas pu effectuer toutes ces tâches. Les insectes ont eux aussi manqué de temps chaud pour polliniser les fleurs, et les plantes ont souffert de l’insuffisance de lumière du soleil, essentielle à la formation d'un bon rendement en grains et en fruits. En revanche, cette année humide a été idéale pour les champignons, pas seulement pour les champignons comestibles, mais aussi pour les nuisibles. Il en a résulté des taux élevés de mycotoxines, c'est-à-dire des toxines fongiques, à tel point que certaines récoltes rendues impropres à la consommation ont dû être envoyées aux installations de biogaz.

Grandes cultures
La plupart des oléagineux et des légumineuses sont semés au printemps, ce qui, comme nous l'avons vu, n'a pas été facile. Si les tournesols, le lin, les lentilles, les pois chiches ou les haricots doivent être semés à temps, c'est d'une part pour que les cultures se développent bien et arrivent à la floraison avant que les chaleurs estivales ne fassent dériver les fleurs et ne réduisent la formation des grains. - Dans une année normale - D'autre part, un semis effectué à temps en avril, par exemple pour le tournesol, permet de récolter en septembre cette culture dont la période de végétation est comparativement longue. Il fait alors généralement toujours chaud et il n'y a pas encore de brouillard, ce qui permet aux moissonneuses-batteuses d'effectuer un bon travail de récolte. Mais cette année, en raison de l'humidité persistante ces travaux ont été retardés en de nombreux endroits, à tel point que certains lots de tournesols n'ont été battus qu'en novembre. En fait, il est même étonnant que les tournesols, les lentilles et les haricots aient pu être récoltés. Toutefois, les champignons ont fait des ravages et les rendements n’ont pas atteint leur niveau habituel. Pour les haricots, nous avons dû chercher un moyen de les polir afin d'éliminer la couche poussiéreuse causée par l’humidité. En ce qui concerne le lin d'hiver, nous avons dû reléguer certains lots à l’alimentation animale, ceux-ci comportant des graines de mauvaise qualité. C'est la première fois depuis le début de la production de lin Biofarm en Suisse que nous avons été contraints de prendre cette mesure en raison des conditions météorologiques.

Les céréales aiment la sécheresse. Mais l’obtention de bons rendements céréaliers peut surprendre même en temps très sec. Il n’est donc pas étonnant que les rendements de cette année aient battu des records à la baisse. «Je n'ai jamais vu ça de toute ma vie» ont unanimement fait remarquer les agriculteurs, des négociants et des collaborateurs des centres collecteurs à propos de la récolte 2024. La récolte a atteint à peine à 60% du niveau normal pour le blé, à cause des pluies incessantes. Même pour l'avoine, qui est de toutes les céréales celle qui résiste le mieux à un printemps humide, la quantité récoltée n’a pas dépassé ce niveau. En effet, il a continué de pleuvoir en juin et en juillet, jusqu'à la veille de l'arrivée des moissonneuses-batteuses. Les grains sont donc restés petits et le poids à l'hectolitre nécessaire à la commercialisation n'a souvent pas été atteint. Plusieurs centaines de tonnes d'avoine serviront de fourrage au lieu d'être transformées en flocons.

Le colza a toutefois offert une lueur d'espoir. Bien que le printemps précédent, également humide, ait rendu la fertilisation, pourtant essentielle à cette plante, impossible en de nombreux endroits, de nombreux cultivateurs de colza ont pu obtenir des rendements satisfaisants. Cela est probablement dû au fait que les coléoptères de toutes sortes qui raffolent des jeunes plants ont fait face à des conditions de vol défavorables.

Cultures fruitières
Fruits de transformation et de table: les cultures de plein champ et les fruits délicats ont été particulièrement affectés par les conditions météorologiques défavorables. Du début de la saison jusqu'au commencement de l'été, nos arboriculteurs et arboricultrices ont eu beaucoup à faire, surtout en matière de protection phytosanitaire et de lutte contre les champignons. Souvent, au moment où il était le plus urgent de procéder aux pulvérisations nécessaires dans leurs cultures, ils en ont été empêchés par des sols boueux et gorgés d'eau. Alors que les précipitations ont généralement moins affecté les calibres des fruits, les qualités des fruits ne se sont pas développées de manière optimale.

Pour les fraises de plein champ, les mauvaises conditions météorologiques ont entraîné un rendement très faible. 

Malgré une bonne charge, la récolte de cerises destinées à la transformation, affectée notamment par la mouche de la cerise est décevante. Les variétés de table précoces étaient très molles, peu goûteuses et ne se conservaient pas, alors que la qualité s'est améliorée pour les variétés suivantes. Dans l'ensemble, le sucre et l'arôme ont fait défaut en raison du temps froid et humide et du manque de jours d'ensoleillement. 

Les pruneaux s’en sont beaucoup mieux tiré: un peu moins délicats que les cerises, ils ont en outre bénéficié d'une météo plus stable à l'approche de la récolte. Les arbres, généreusement couverts cette année, ont fourni une bonne récolte de belle qualité.  

Plus la saison se prolongeait, plus cela a profité aux poires et aux pommes. Elles ont connu une bonne année, avec de beaux calibres et une bonne coloration. Alors que les fruits des variétés précoces étaient plutôt mous, nous avons obtenu de meilleures qualités de conservation pour les variétés tardives. Le temps frais et humide a été plus favorable aux variétés douces et acidulées qu'aux variétés qui aiment la chaleur. La qualité des poires Kaiser Alexander a néanmoins été fortement dégradée par la tavelure. Certains lots ont dû être déclassés en 2ème qualité avant d'être stockés.

Fruits secs en provenance de l'étranger 
En Turquie, les conditions climatiques défavorables en hiver ont eu un impact sur la récolte des mûres, des figues et des raisins secs. Dans ce pays, des températures estivales inhabituellement élevées ont fait mûrir les figues précocement, réduisant ainsi la taille des fruits. Pour ces trois cultures fruitières, les quantités récoltées cette année sont considérablement plus faibles. La quantité de fruits disponibles étant moindre, cela a influé sur les prix. Les abricots s'en sont mieux sortis: comme la charge sur les arbres était importante, la récolte a dépassé celle de l'année dernière en dépit de la taille réduite des fruits. 
Cette année encore, nos dattes de Tunisie sont de bonne qualité. Elles poussent dans des oasis dans différentes parties du pays, ce qui entraîne de grandes variations de rendement selon l'emplacement. Toutefois, dans l'ensemble, nous pouvons nous réjouir d'une récolte de dattes satisfaisante. 

Magie der Blüten - ein magischer, blumiger Moment dank marokkanischer Minze, Holunderblüten, Kornblumen, Mohn und Malve.

Blaue Fee - lieblich und aromatisch mit Apfelminze, Zitronenthymian, Malve, Kornblumen blau und Kornblumen rot.

Morgentau - frisch und erquickend mit bulgarischer Minze, Zitronenverbene, Zitronenthymian, Kornblumen und Sonnenblumen – auch als Eistee ein Hit.